26 juillet 2007
The hand that rocks the ladle, Tamar Myers
Mon premier pensylvannia-dutch mystery. Et aussi le dernier.
Un soit-disant roman policier, sans aucun charme - à moins que l'on ne soit prêt à en trouver à une communauté amish au-delà du folklore, à une brochette de femmes systématiquement hystériques et une galerie d'hommes qui me fait me demander si l'auteur n'a vraiment jamais rencontré un seul charmant monsieur dans sa vie.
Quant à la vraisemblance... Agatha Christie, par exemple, ne brille jamais par sa vraisemblance. Mais elle prend toujours la peine de démonter ses mécanismes de passe-passe et de démontrer qu'il n'y manque pas un rouage. Tamar Myers n'a pas tant de scrupules, et infiniment moins de talent...
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A